[CDF - 32e] Marseille Consolat vs ACA - Dimanche 04/01 13h45
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FIUMU ORBU
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Braconni doit bien rigoler...
Enfin hormis Cavalli, Koné et Pedretti , vous rendez vous compte du niveau des autres joueurs de l'équipe aligné .
Tout est fait pour leur monter la segua , alors qu ils ont le niveau de CFA au mieux.
Soyons réalistes cette équipe va tout juste se maintenir.
Quand je vois deville rentrer à la 65 eme pour faire basculer le match , je suis mort de rire.
Certains melons doivent être dégonfler , et que chacun retourne à sa vrai place.
Enfin hormis Cavalli, Koné et Pedretti , vous rendez vous compte du niveau des autres joueurs de l'équipe aligné .
Tout est fait pour leur monter la segua , alors qu ils ont le niveau de CFA au mieux.
Soyons réalistes cette équipe va tout juste se maintenir.
Quand je vois deville rentrer à la 65 eme pour faire basculer le match , je suis mort de rire.
Certains melons doivent être dégonfler , et que chacun retourne à sa vrai place.
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Oh_Gristov
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Scandaleux. 7 forfaits et c'est la déroute contre un club amateur.
"c'est fou ça, on a pris Emon plus nul que Dupont, Ravanelli plus nul qu'Emon, Bracconi plus nul que Ravanelli, a part le cuistot de l'amirauté je vois pas qui on pourra prendre maintenant comme entraîneur"
"o ghjente j'ai les plans, et même des photos des futurs aménagements intérieurs. C'est monstrueux, ça me fait penser a l'Emirates Stadium mais en plus petit bien sur"
"o ghjente j'ai les plans, et même des photos des futurs aménagements intérieurs. C'est monstrueux, ça me fait penser a l'Emirates Stadium mais en plus petit bien sur"
Cette défaite est inquiétante. En prendre trois face à une équipe de bas de tableau de National c'est lourd.
Concernant la montée, ça fait belle lurette que j'ai fait une croix dessus, il faut être réaliste. Quand Panta est arrivé, nous étions déjà complètement largués. En revanche, on respire un peu mieux par rapport au bas de tableau. Mais il va falloir cravacher pour obtenir le maintien. Ce sera désormais notre objectif. Le seul qui nous reste hélas.
Concernant la montée, ça fait belle lurette que j'ai fait une croix dessus, il faut être réaliste. Quand Panta est arrivé, nous étions déjà complètement largués. En revanche, on respire un peu mieux par rapport au bas de tableau. Mais il va falloir cravacher pour obtenir le maintien. Ce sera désormais notre objectif. Le seul qui nous reste hélas.
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vince per noi
- Aiacciu per sempre
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Quelle mascarade... Il aurait mieux valu déclarer forfait que faire les pitres non ?
Pedretti des fois je me demande pourquoi on le fait jouer, il est nullissime depuis qu'il a signé chez nous
Pedretti des fois je me demande pourquoi on le fait jouer, il est nullissime depuis qu'il a signé chez nous
INSEME VINCEREMU
PEUT ETRE QU IL EST NUL MAIS IL FAIT LA PLUIE ET LE BEAU TEMPS . UN COUP IL EST BLESSE OU ALORS LE COATCH NE LUI ACCORDE PAS SA CONFIANCE ET LA IL N ARRRIVE PAS A S EXPRIMER ET SE BLESSE . J AI BIEN PEUR QUE LOUIS NICOLLIN AIT FAIT LE BON DIAGNOSTIQUE A L EPOQUE LES GARS FAUT ARRETER LES FRAIS ET FAIRE JOUER DES JOUEURS QUI EN ONT ENVIE .PREPARONS POUR UNE FOIS VERITABLEMENT L AVENIR EN INTEGRANT CEUX QUI COMPOSERONT L EQUIPE DE DEMAIN N AYONS PAS PEUR IL EST GRAND TEMPS DE REAGIR . PIRE QUE CA CE N EST PAS POSSIBLE DONC PROFITONS DE CE NAUFRAGE INADMISSIBLE POUR ENFIN CONSTRUIRE .
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Canto
- Disciple de Hank Moody
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Je suis supris par cet élan de catastrophisme pour 2 raisons : ce faire ridiculiser par un club inférieur est dans les gènes du club, et il y en a qui ont vraiment cru qu avec cette équipe la montée etait envisageable après 18 mois désastreux et une relégation anonyme ?
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Oh_Gristov
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Je ne suis pour ma part pas dans le catastrophisme, mais toi bien dans le cynisme 
"c'est fou ça, on a pris Emon plus nul que Dupont, Ravanelli plus nul qu'Emon, Bracconi plus nul que Ravanelli, a part le cuistot de l'amirauté je vois pas qui on pourra prendre maintenant comme entraîneur"
"o ghjente j'ai les plans, et même des photos des futurs aménagements intérieurs. C'est monstrueux, ça me fait penser a l'Emirates Stadium mais en plus petit bien sur"
"o ghjente j'ai les plans, et même des photos des futurs aménagements intérieurs. C'est monstrueux, ça me fait penser a l'Emirates Stadium mais en plus petit bien sur"
Ils se sont connus au centre de formation de l'OM. Thomas Deruda, né en 1986, et Fabrice Begeorgi, de la génération 1987, ont ensuite pas mal bourlingué ensemble, connaissant leur première expérience en pro au sein du club olympien, avant d'être prêtés tous les deux à Libourne et Amiens. Respectivement aujourd'hui à Consolat et à Ajaccio, ils seront donc adversaires, demain en coupe de France. Mais avant cela, les deux anciens compères ont accepté de se livrer au petit jeu des questions croisées, en évoquant pêle-mêle leurs souvenirs communs, leur amitié et, évidemment, le match de ce dimanche.
Que représente ce Consolat-Ajaccio ?
Thomas Deruda : C'est toujours particulier de jouer contre son ancien club. Ajaccio est une ville où j'ai passé deux ans, il y a encore beaucoup de personnes au club que j'apprécie. C'est un match très important pour nous et on a à coeur de le gagner.
Fabrice Begeorgi : C'est un match de coupe, on sait que c'est toujours difficile d'affronter une équipe supposée inférieure. Cela va être un combat, un match compliqué surtout sur leur terrain.
Quels souvenirs gardez-vous de votre formation à l'OM ?
T.D. : Je me souviens qu'il était très doué pour son âge, avec la fameuse génération Nasri-Yahiaoui. Il venait souvent avec notre génération, celle des '86' et apportait toujours sa bonne humeur et sa joie de vivre.
F.B. : Je ne garde que des bons souvenirs. On a gravi les échelons ensemble, on a été prêtés ensemble, on s'est suivi de 15 à 22 ans. J'étais encore attaquant et Thomas évoluait au milieu donc il me lançait souvent en profondeur. On s'entendait vraiment bien.
Quels liens avez-vous gardé ?
T.D. : Les aléas du football ont fait que l'on se voit beaucoup moins. Mais c'est quelqu'un que j'apprécie énormément que je suis toujours. Il fait une belle petite carrière.
F.B. : On s'est un peu perdu de vue, mais à chaque fois que l'on se revoit, c'est avec plaisir. Ce sont les retrouvailles d'une longue amitié.
Et quel regard portez-vous l'un sur l'autre ?
T.D. : On s'est construit ensemble, on vivait toujours l'un à côté de l'autre lorsqu'on était prêtés. Il a été un confident pour moi et heureusement que parfois, il était là car quand on est jeune, seul, dans une ville où on ne connaît personne, c'est dur moralement.
F.B. : J'ai toujours adoré le personnage. Il a son caractère et il dit ce qu'il pense, ce qui nous a valu quelques petites engueulades. Mais j'ai toujours apprécié Thomas. Les gens ont des préjugés sur lui, mais avant de juger quelqu'un, il faut apprendre à le connaître.
Quel est votre meilleur souvenir ensemble ?
T.D. : Je me souviens d'une bataille de brioche vendéenne quand on avait 15 ans, avec Fabrice, Mareck (Amiri, ndlr) et un autre joueur du centre dans une chambre à quatre. C'était le père de Fabrice qui nous l'avait achetée et ça reste un énorme fou rire. J'ai des milliers de souvenirs avec 'Begeo', comme les fois où l'on redescendait de Libourne avec une voiture de prêt pour un week-end improvisé à Marseille.
F.B. : Je me souviens de quelques matches en coupe Intertoto, c'était des moments forts. Mais des souvenirs, il y en a plein, j'étais toujours avec Thomas en chambre et on était toujours collés ensemble. C'est lui qui m'a sorti en boîte pour la première fois, c'était un peu mon grand frère à Marseille.
Regrettez-vous de ne pas vous être imposés à l'OM ?
T.D. : Tout le monde connaît mes péripéties, mais je pense que Fabrice peut avoir des regrets, car il méritait mieux. On sait que c'est toujours dur de réussir pour un Marseillais dans son club de coeur. Aujourd'hui, je me dis que j'ai quand même réussi car je joue chez moi, à Consolat, et que cela se passe bien.
F.B. : Il ne faut pas avoir de regret, on est sorti professionnel, c'est déjà beau. À l'époque, à part Nasri qui survolait les débats, il fallait s'accrocher pour grappiller du temps de jeu. Au final, on était quand même dans une équipe qui s'est qualifiée en coupe d'Europe... On pourra dire qu'on y était.
Qu'allez-vous dire à l'autre lorsque vous vous retrouverez dans le couloir de La Martine ?
T.D. : Une phrase qu'on avait entre nous : "Alors ça, c'est très très très bien !"
F.B. : Je pense qu'il va me dire "oh mon gâté !" parce que c'est son expression. J'ai tout de suite pensé à lui lorsque le tirage au sort a désigné Consolat. Je sais qu'il va se donner à fond pour nous battre. Pendant 90 minutes on sera adversaires !
Que représente ce Consolat-Ajaccio ?
Thomas Deruda : C'est toujours particulier de jouer contre son ancien club. Ajaccio est une ville où j'ai passé deux ans, il y a encore beaucoup de personnes au club que j'apprécie. C'est un match très important pour nous et on a à coeur de le gagner.
Fabrice Begeorgi : C'est un match de coupe, on sait que c'est toujours difficile d'affronter une équipe supposée inférieure. Cela va être un combat, un match compliqué surtout sur leur terrain.
Quels souvenirs gardez-vous de votre formation à l'OM ?
T.D. : Je me souviens qu'il était très doué pour son âge, avec la fameuse génération Nasri-Yahiaoui. Il venait souvent avec notre génération, celle des '86' et apportait toujours sa bonne humeur et sa joie de vivre.
F.B. : Je ne garde que des bons souvenirs. On a gravi les échelons ensemble, on a été prêtés ensemble, on s'est suivi de 15 à 22 ans. J'étais encore attaquant et Thomas évoluait au milieu donc il me lançait souvent en profondeur. On s'entendait vraiment bien.
Quels liens avez-vous gardé ?
T.D. : Les aléas du football ont fait que l'on se voit beaucoup moins. Mais c'est quelqu'un que j'apprécie énormément que je suis toujours. Il fait une belle petite carrière.
F.B. : On s'est un peu perdu de vue, mais à chaque fois que l'on se revoit, c'est avec plaisir. Ce sont les retrouvailles d'une longue amitié.
Et quel regard portez-vous l'un sur l'autre ?
T.D. : On s'est construit ensemble, on vivait toujours l'un à côté de l'autre lorsqu'on était prêtés. Il a été un confident pour moi et heureusement que parfois, il était là car quand on est jeune, seul, dans une ville où on ne connaît personne, c'est dur moralement.
F.B. : J'ai toujours adoré le personnage. Il a son caractère et il dit ce qu'il pense, ce qui nous a valu quelques petites engueulades. Mais j'ai toujours apprécié Thomas. Les gens ont des préjugés sur lui, mais avant de juger quelqu'un, il faut apprendre à le connaître.
Quel est votre meilleur souvenir ensemble ?
T.D. : Je me souviens d'une bataille de brioche vendéenne quand on avait 15 ans, avec Fabrice, Mareck (Amiri, ndlr) et un autre joueur du centre dans une chambre à quatre. C'était le père de Fabrice qui nous l'avait achetée et ça reste un énorme fou rire. J'ai des milliers de souvenirs avec 'Begeo', comme les fois où l'on redescendait de Libourne avec une voiture de prêt pour un week-end improvisé à Marseille.
F.B. : Je me souviens de quelques matches en coupe Intertoto, c'était des moments forts. Mais des souvenirs, il y en a plein, j'étais toujours avec Thomas en chambre et on était toujours collés ensemble. C'est lui qui m'a sorti en boîte pour la première fois, c'était un peu mon grand frère à Marseille.
Regrettez-vous de ne pas vous être imposés à l'OM ?
T.D. : Tout le monde connaît mes péripéties, mais je pense que Fabrice peut avoir des regrets, car il méritait mieux. On sait que c'est toujours dur de réussir pour un Marseillais dans son club de coeur. Aujourd'hui, je me dis que j'ai quand même réussi car je joue chez moi, à Consolat, et que cela se passe bien.
F.B. : Il ne faut pas avoir de regret, on est sorti professionnel, c'est déjà beau. À l'époque, à part Nasri qui survolait les débats, il fallait s'accrocher pour grappiller du temps de jeu. Au final, on était quand même dans une équipe qui s'est qualifiée en coupe d'Europe... On pourra dire qu'on y était.
Qu'allez-vous dire à l'autre lorsque vous vous retrouverez dans le couloir de La Martine ?
T.D. : Une phrase qu'on avait entre nous : "Alors ça, c'est très très très bien !"
F.B. : Je pense qu'il va me dire "oh mon gâté !" parce que c'est son expression. J'ai tout de suite pensé à lui lorsque le tirage au sort a désigné Consolat. Je sais qu'il va se donner à fond pour nous battre. Pendant 90 minutes on sera adversaires !
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macadam
- Messages : 1186
- Enregistré le : 07 juil. 2005
- Localisation : Action de localiser, fait d'être localisé
Au final sur 24 matchs joués, il y a seulement 8 matchs sans prendre de but... C'est ça le problème !!
La défense est décevante même contre une équipe qui a gagné 3 matchs en National, le score est de 3 à 0. Il faut recruter un défenseur et se séparer de Zubar s'il ne veut plus jouer pour l'ACA ou si le coach n'en veut plus.
La défense est décevante même contre une équipe qui a gagné 3 matchs en National, le score est de 3 à 0. Il faut recruter un défenseur et se séparer de Zubar s'il ne veut plus jouer pour l'ACA ou si le coach n'en veut plus.
"N'oublions pas que se sont les gaulois qui ont inventé le tonneau" de J-P Pernaut
