Foot - Amateurs : Mise en examen en Alsace

Qui si parla di tuttu : infurmazioni, putachjii, pulitichella, è sopra tuttu si po macagnà à vulè !
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Bordelais et acéiste
Bordelais et acéiste
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Suite du drame qui s'est déroulé dimanche en Alsace où un jeune homme turc de 21 ans avait été poignardé lors d'un match qui s'inscrivait dans le cadre d'une série de rencontres organisée entre plusieurs villages de la région d'Aspach-le-Bas. Un jeune homme de 23 ans a été mis en examen mardi à Mulhouse (Haut-Rhin) pour ce meurtre.

Le jeune homme, d'origine algérienne et qui était déjà connu de la gendarmerie pour des affaires de violence, a été placé en détention provisoire dans une prison hors d'Alsace, a indiqué Me Thierry Moser, l'un des avocats de la victime.

Cette dernière, père de deux enfants, avait été poignardée alors qu'elle participait à un «grimpelturnier», tournoi de football amateur où n'importe qui, licencié ou non, peut constituer une équipe.

Lors d'un des matches, le ton était monté entre l'une des deux équipes sur le terrain et l'arbitre, qui avait été insulté et menacé, selon la gendarmerie. La victime, joueur de l'équipe adverse, avait alors tenté de s'interposer. Un peu plus tard, lors d'un autre match où jouait la victime, le meurtrier présumé était revenu sur le terrain, avec une matraque et un couteau.

«Un seul coup de couteau a suffi pour entraîner la mort. Il reconnaît la matérialité des faits», a indiqué mardi lors d'une conférence de presse le procureur de la République de Mulhouse Régis Delorme. Après s'être enfui, le jeune homme s'est réfugié en Allemagne, avant finalement de se constituer prisonnier lundi matin sous la pression de sa communauté, a expliqué le magistrat.

«Il ne s'agit pas d'un affrontement entre Turcs et Maghrébins mais de rivalités de quartiers», a continué M. Delorme, répondant ainsi à la colère d'une partie de la communauté turque qui avait pointé du doigt lundi la communauté maghrébine.

«De plus en plus de rencontres sportives seront le prétexte à de telles rivalités (de quartiers, ndlr) mais on ne peut pas concevoir que de telles manifestations soient encadrées par une compagnie de CRS ou un escadron de gendarmerie mobile», a-t-il estimé.

Seulement «une partie des témoins» ont pour l'instant été entendus dans cette affaire et «d'autres témoignages pourraient entraîner d'autres implications», a ajouté le magistrat.
Aprés Demont il parle de nous ... :?
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